Related

  • No related posts found.
The Author
Topic: livres/expos/tv...
Tags: , ,

Le rock en 400 pages (Nicolas Dupuy écrit pour les nuls)

par arbobo | imprimer | 5jan 2010

Il est toujours agréable d’être cité dans un ouvrage, surtout lorsqu’il est largement distribué. Pas de surprise donc à ce qu’on parle ici de Le rock pour les nuls publié début décembre par Nicolas Dupuy. Vous l’avez probablement déjà lu sur ses sites Crosstown traffic et Are you experienced.

Des histoires du rock, des encyclopédies de toute sorte, on en connait déjà pas mal. Mishka Assayas, à son époque Inrockuptibles, avait ouvert le bal avec son Dictionnaire en 2 tomes (je vous laisse vous renseigner sur les suites judiciaires entre lui et les contributeurs), il y a déjà, pffiou, au-moins tout ça.

Depuis, les bouquins sur le rock se sont multipliés, les collections thématiques aussi. Sans oublier les anthologie de “100 disques” qu’il faut avoir, avoir écouté, vénérer ou respecter, selon les auteurs. D’ailleurs Dupuy a apporté son écot à ce genre.
Rock et histoire, ça calme un peu comme attelage, ça file d’entrée de jeu un sacré coup de vieux. Si la musique ado par excellence, la musique rebelle, devient un sujet d’histoire dont on peut faire un livre, c’est que le carottes rapées sont déjà sagement rangées au 2 étage du frigo sous leur film plastique. C’est la fin. La mise sous presse, pour un art rebelle, est une forme d’enterrement de première classe.

Lorsqu’il cherchait à faire couler les éditions Scali en publiant 10 livres par mois, Patrick Eudeline avait lancé une encyclopédie en 5 tomes. Seuls les deux premiers sont sortis, à raison de 5 artistes par volume, chacun bénéficiant d’un long développement (100 pages). Choix intéressant, relevé par celui des auteurs, consistant à nous faire connaître vraiment quelques maîtres plutôt qu’accumuler de courtes notices. Le complément (l’antidote?) à Assayas.

Restait un peu de place pour une autre approche. Combinant à la fois effort de rédaction et panorama quasi complet. Sans être exhaustif, prétention vaine, Le rock pour les nuls s’attache tout de même à nous fournir à la fois les notions de base et repères essentiels du rock, tout en ouvrant vers de nombreux groupes et genres moins connus.
Ecrit par une seule personne, on pardonnera à ce livre certaines impasses ou raccourcis, qu’on tient pour des parti pris. Lorsqu’on n’est pas dans une somme collective, et lorsqu’il s’agit d’un art, fut-il mineur, le parti pris est légitime. Ce livre est cohérent avec une vision du rock à la fois centrée (un point de vue, celui d’un fan d’Hendrix, vous l’aviez compris) et large. On y trouve des milliers de faits, d’anecdotes, d’infos, et même un commentateur averti trouve à raviver quelques souvenirs et apprendre certaines choses. Objectif atteint, le tout en 400 pages. Fans de folk, amoureux de PJ Harvey ou Cat power, vous aurez l’impression, justifiée, que l’auteur est moins en communion avec vous qu’avec les adeptes de Metallica. Vous aurez raison, mais une fois qu’on l’a admis on parcourt les pages sans voir le temps passer.

On tiendra pour peu de chose les minimes désaccords qui surviennent à la lecture, pinaillages sur des sujets où, de toute façon, personne n’est jamais d’accord. Tantôt une définition (la new wave, au hasard), tantôt le style auquel on rattache tel ou tel artiste… On a même trouvé un oubli (les français Strychnine), un seul en 400 pages, c’est dire si le contenu est dense et complet. Au bout de 10 pages on a déjà envie d’acheter quelques centaines de disques ^^

Voilà pour les compliments. Restent les limites. Elles sont celles d’une collection très codée. Les “… pour les nuls” sont des ouvrages “utilitaires”, informatifs. Ils sont commodes, maniables, bien conçus. Ils sont moches au-delà de toute imagination. Ils ont une mise en page lourdingue et envahissante, propre à tous les “guides” en tout genre. Autrement dit, ils sont tout, mais alors tout sauf rock’nroll.
L’autre limite rejoint le compliment : le point de vue. L’intérêt de faire appel à un vrai fan de musique, c’est qu’il apporte ses propres goûts, des goûts pétris de rock à guitare 70s, et ce n’est pas un hasard si le hard-rock et ses déclinaisons ont droit à 2 chapitres alors que la vaste galaxie “indépendants” n’en a qu’un. Vu la taille du projet et celle du livre, il était inévitable que certains passages, celui sur “l’indé” justement, convainque moins. Puisque c’est justement notre propre famille musicale, on ne pouvait que relever ce petit manque de vitamines, mais rapporté à l’ensemble du livre, reconnaissons que la faiblesse est très relative. D’autant qu’écrire quelques pages sur un mouvement aussi pléthorique, aux ramifications si complexes et aux appellations aussi changeantes que sybillines, est mission impossible.

Alors les puristes et les amateurs de tel ou tel genre préfèreront être fidèle aux collections d’Allia, du castor astral ou de Camion blanc. Mais si vous en avez assez que votre oncle ou votre mère vous dise “ton rock bidule truc j’y comprends rien”, ou si votre petite cousine de 14 ans vous assaille de questions sur Hendrix, les Who, les Beatles, le punk, le glam-rock, vous leur ferez un grand (et utile) cadeau.
C’est toute la contradiction de cet ouvrage. Mais on doit reconnaître qu’à la place de l’auteur, on aurait signé sans tarder le contrat.

Le rock pour les Nuls, éditions First, 400p., 22 euros



Comments

31 Commentaires


  1. 1 Crosstown Traffic on janvier 5, 2010 8:39

    Et ben, çà c’est de la bonne critique ! Many thanx!

  2. 2 arbobo on janvier 5, 2010 9:38

    je t’en prie ^^

    j’ai attendu d’avoir pris le temps de le lire tranquillement avant de me décider ^^
    tu m’as presque convaincu d’écouter Faith no more, c’est pas un petit exploit :-)

  3. 3 Guic' the old on janvier 5, 2010 9:41

    Attends… Le GROS oubli, ça reste les Smashing Pumpkins.
    Mais j’en dis pas plus, vu que j’en parle vendredi chez moi.

  4. 4 Guic' the old on janvier 5, 2010 9:44

    (Remarque, ce que tu dis à la fin est pas faux: je l’ai déjà offert à ma soeur et à ma copine ^^)

  5. 5 rififi on janvier 5, 2010 9:57

    moui. faut bien reconnaitre comme tu le dis que pour l’instant j’ai plus été rebutée qu’autre chose par la collection.
    mais bon, faut voir…

  6. 6 arbobo on janvier 5, 2010 10:22

    pas plus gros que PJ Harvey, Guic, comme oubli :-)

    je ne vois pas trop comment faire autrement, et je me console en imaginant ce qu’aurait pensé un fan de Nine inch nails ou de Metallica si c’était moi qui avait écrit le livre ^^
    ç’aurait pas été triste ^^

    à partir de 1990 (date très approximative), ça devient compliqué à décrire,
    finalement le choix d’avoir fait porter l’essentiel du livre sur les périodes précédentes est une bonne idée.
    Surtout que les lecteurs les plus jeunes connaissent surtout les 15 dernières années, et ça laisse au livre son côté “histoire”.
    Ca reste un ouvrage de vulgarisation, pas une référence pour fans dans notre genre ^^

  7. 7 Xavier on janvier 5, 2010 11:25

    mmmmmh, j’ai lu beaucoup de bonnes critiques, je suis tenté, surtout que j’aime bien le blog Crosstown, et le style de l’auteur… En meme temps, c’est plus la musique post 90’s qui m’intéresse, et puis pas de SP????
    je crois que je vais le feuilleter avant de me décider à l’acheter…

  8. 8 Guic' the old on janvier 5, 2010 12:17

    Il reste très bien fait sur les tenants et aboutissants du truc sur la période 50 - 80. Concernant les années 90, c’est difficile d’être complet sans être exhaustif, certes.Après, c’est aussi un choix que de parler des différents mouvements (parce que c’est ça, surtout, les mouvements qui font les chapitres) sans faire d’impasse ou de raccourci.

    De toutes façons, des gens maniaques tels que nous le sommes ne verront jamais fdans ce livre que ce qui n’y est pas . Malheureusement.

  9. 9 Guic' the old on janvier 5, 2010 12:31

    Et concernant le GROS oubli des Pumpkins, ce n’est pas face à PJ Harvey que ça me parait primordial, mais face à Cat Power, bien évidement.

    En fait, ce qui me parait marrant, c’est que tu précises bien qu’il faut accepter que Nicolas ait ses marrotes pour aprécier le livre (moi parso ce qui m’a marqué dans le genre, c’est quand même Angel Dust dans les 10 albums incontournables… Il est certes très bon, mais pas de Who, de Kinks ou de Black Sab’ dans la liste et coller FNM… Ca me parait assez bizarre), tout en reprochant que les tiennes n’y soient pas: Cat Power, mais surtout Strychnine… Restons raisonnables. Désolé, mais Strychnine, c’est franchement mineur par rapport aux Bérus ou Noir Des… Et puis si tu mets Strychnine, tu dois mettre les Dogs ou Little Bob, ou… Et t’en finis plus. Surtout que si mes souvenirs sont bons, c’est plus la scène alterno 80 française qui est évoquée… Et Strychnine, en 81 ça existait plus…

  10. 10 Guic' the old on janvier 5, 2010 14:51

    (Remarque: j’ai bien conscience que les Pumpkins sont ma marotte perso, aussi, hein.)

  11. 11 arbobo on janvier 5, 2010 15:36

    ce que je dis, guic, ou plutôt ce que je voulais dire,
    c’est que forcément les amateurs dans notre genre regretteront certaines absences, toi c’est les Smashing, moi c’est cat power ou PJ (mentionnée mais guère plus),
    voire strychnine.
    strychnine je dis que c’est quasiment le seul oubli, et il concerne la scène punk française dont il parle en plusieurs pages, ils participaient d’ailleurs au fameux festival de Mont de Marsan, qui est bel et bien évoqué :-)

    j’entendais par là que s’il faut aller pêcher Strychnine pour trouver de vrais “oublis”, c’est bien la preuve qu’il n’y a pas de vrais oublis (puisqu’ils sont inconnus et sans descendance malgré leur talent). tu verras que les Dogs sont bel et bien mentionnés, à propos du renouveau de la scène rock. Après, eh bien après on entre dans les années 90, et ça devient difficile de mentionner tout, c’est pas très grave.

    Les conseils de 10 disques à la fin, c’est un plaisir perso, visiblement, de même que la sélection de sites internet, soyons clair :-)
    Les disques “classiques” et les “indispensables” sont signalés tout au long du livre, et sur la période il est certain qu’il doit bien y en avoir dans les 200 au bas mot.

    mais je suis curieux de savoir ce que tu vas écrire là-dessus.

    pour ma part je n’aurais jamais lu ce livre spontanément dans un autre contexte, il me semble aller de soi que je ne suis pas le public visé et que je n’allais pas y apprendre grand chose (sauf sur les styles qui me sont étrangers, qui ne sont pas très nombreux au demeurant, dit-il en écoutant les thugs ^^)

  12. 12 Guic' the old on janvier 5, 2010 15:55

    Sincèrement, ce que j’ai écrit là dessus, c’est pas grand chose de plus que ce que j’ai dit ici. Le livre est très bien, mais il est pas “fait pour moi”, tout simplement.
    C’est en fin de la rétrospective des livres que j’ai lu sur le sujet dans l’année, et j’avais plus trop le courage d’une part, et j’ai tellement pas l’habitude de lire des livre “d’histoire du rock” préférant les pensums sur des sujets spécifiques ou les biographies, que je ne saurais juger justement de l’ouvrage.

  13. 13 arbobo on janvier 5, 2010 15:57

    pour éclairer un peu plus, ou en remettre une couche :
    j’aime les albums qui ont une cohérence (même si le dernier biolay m’a bien calmé),
    j’ai critiqué ici même les expositions qui n’ont pas de parti pris ni de point de vue,
    donc malgré ce que ça implique de biais,
    je ne peux pas trouver que son parti pris soit un défaut pour ce livre, dans la mesure où il est assumé pleinement :-)

  14. 14 Guic' the old on janvier 5, 2010 16:16

    Tu sais…. La cohérence c’est juste la façon qu’on a de qualifier la monotonie quand l’album nous plaît.

    Mais je trouve le livre très bien, et justement, lae parti pris choisi aurait plutot tendance à me plaire (entre autres ne pas négliger les genres les plus courament honnis.) Reste que, finalement, entre ce que je savais déjà et ce que j’ai déjà appris via Crosstown, il ne m’a pas apporté mille choses neuves à grignoter… Juste ouvert quelques portes devant lesquelles j’étais passé sans faire gaffe.

  15. 15 Ska on janvier 5, 2010 16:54

    Ben voilà, les mecs, c’est juste que vous n’êtes pas des “nuls” en rock… C’est rassurant, non ? Et comme vous l’avez écrit, c’est que vous n’êtes pas du tout la “cible”…
    Pas lu le livre (et je ne le lirai pas), mais c’est, j’imagine, un boulot énorme que de synthétiser tout cela sans passer par la facilité du classement alphabétique comme le fit le Dictionnaire du rock d’Assayas et consorts, ouvrage que je trouve remarquable (d’ailleurs, je ne connais pas trop cette histoire de droits d’auteurs autour de ce livre, qui, pour moi, demeure une petite Bible)…
    Et forcément, chacun pourrait lui tomber dessus d’oublier tel ou tel. Du coup, je trouve, Arbobo, tes réserves mesurées, juste comme il faut…
    En même temps, c’est vrai qu’avec un intitulé pareil (”le rock pour les nuls”… poids du titre contractuel), on a l’impression que l’auteur tend la joue pour se faire gifler… :-)

  16. 16 christophe on janvier 5, 2010 16:59

    S’il ne parle pas de Jean-Michel Jarre, je me désabonne !

  17. 17 SysTooL on janvier 5, 2010 21:07

    Yes, cool chronique!

    Je partage ton opinion sur la mise en page de “… pour les Nuls”… mais dans ma chronique qui paraitra demain ;-) je me suis limité à parler vraiment du travail de Nicolas, appréciable de bout en bout pour un ouvrage véritablement accessible et s’adressant à tous : les fans de rock y apprendront toujours quelque chose, et ça leur remettra les idées en place, tandis que les néophytes auront d’excellentes bases. Le tout avec l’humour qui caractérise Nicolas. Que demander de plus?

    SysT

  18. 18 SysTooL on janvier 5, 2010 21:35

    et pour ce qui est des 10 albums marquants du rock, il faut bien voir que Nicolas a probablement (je parle un peu à sa place, mais il me contredira le cas échéant), a probablement voulu, disais-je, choisir 10 milestones qui représentent toute la diversité du rock, d’où la présence de FNM et RADIOHEAD et les KINKS ou les WHO étaient peut-être un peu “redondants” compte tenu de la présence d’un album des BEATLES et des STONES…

    Par ailleurs, les KINKS et les WHO ont été très importants, mais ont un gros défaut : il n’ont pas sorti UN grand album “parfait”, mais plusieurs très très bons… enfin, je dis ça…

    Smashing Pumpkins? Ils auraient pu être cités dans la période “grunge”, à défaut, mais leur absence ne m’a pas manqué, Guic ;-)

    SysT

  19. 19 Guic' the old on janvier 5, 2010 21:48

    Rassure toi SysT, pour le Radiohead je suis d’accord. C’est vraiment le FNM qui m’a sauté aux yeux…

    A la place j’aurais mis, je sais pas, “Daydream Nation”, “Surfer Rosa”, (un Nirvana?), bizarrement autrement plus influent et important, même si pas aussi innovant.
    (Sinon, les Who ont fait un seul album parfait, Who sell out, completement a part dans leur disco, et les Kinks plusieurs: Something else en tete.)

    (Mais pourquoi personne me croit quand je dis que les Pumpkins sont un groupe essentiel??? :-/)

  20. 20 arbobo on janvier 5, 2010 22:01

    je te répondrai quand j’aurai enfin écouté leurs albums qui trainent sur mon ordi :o)

  21. 21 Cesco on janvier 5, 2010 22:22

    Pourquoi taper sur Nine Inch Nails ? Y a tellement de mauvais trucs sur lesquels taper qu’il est dommage de descendre NIN, qui, malgré un The Slip décevant, a quand même pondu 2-3 trucs pas mal cette dernière décennie (With Teeth ou surtout l’EP Still, où accompagné de son seul piano, Reznor nous livre une facette très lointaine de l’époque Broken ou The downward spiral).

    Quand aux Smashing, clair… Hâte de lire l’article de Guic’.

  22. 22 arbobo on janvier 5, 2010 23:43

    je ne vois pas qui tape sur NIN, cesco,
    mais puisque tu voulais avant-tout poster un comm pour qu’on vienne sur ton blog, c’est chose faite maintenant ^^

    bienvenue dans la blogosphère, mais vraiment lis les articles avant de commenter, tu seras plus crédible :oD

  23. 23 SysTooL on janvier 6, 2010 7:59

    Guic : Ouais Pixies et Sonic Youth, pourquoi pas… mais dans ce cas, il faudrait mettre un VELVET… tu vois on s’en sort plus… et Nirvana, non, je vois pas en quoi ils ont été innovant musicalement, c’est juste ce fameux mouvement grunge qui tient plus de la stratégie marketing MTV qu’autre chose… :-/

    SysT

  24. 24 Guic' the old on janvier 6, 2010 9:40

    (Mets un Velvet à la place des Stones. Parce que quand, même, les Stones, en voilà un groupe pas foutu de sortir un vrai, beau, grand album parfait, que je sache ;-) )
    Concernant le Grunge je suis à peu près aussi dubitatif que toi, rassure toi.

  25. 25 Ska on janvier 6, 2010 10:17

    Et Their Satanic Majesties Request alors ? ;-)
    (oui, je sais, sur ce coup-là, je me sens bien seul…)

  26. 26 Guic' the old on janvier 6, 2010 11:00

    (Et Goat Heads Soup?)

  27. 27 Mmarsupilami on janvier 6, 2010 12:05

    Je crois que je vais lire l’autre livre de l’auteur, “Les arts martiaux pour les nuls”.
    Là, au moins je suis nul pour du vrai…
    Je ferai donc alors partie des lecteurs à qui est destinée l’oeuvre.
    Et je ne participerai pas à de longs débats sur la place accordée par l’auteur à l’ashiguruma ou au tawaragaeshi…
    (C’est pour rire, hein, bien entendu)

    Ceci dit, sans avoir vu le bouquin, je partage l’esprit de la conclusion d’Arbobo.
    Ce genre de livre, c’est idéal pour la petite cousine (ou le fils ou la fille) en phase d’initiation.
    Honnêtement, pour maman et tonton, je crois que c’est cause perdue.
    Rien que pour ça, comme il est bien fait (toute confiance en Arbobo et Le Gueusif), je vais aller voir le bouquin.
    S’il répond bien à ce besoin réel et très fréquent, chapeau, c’est un indispensable!

    Et puis, quand j’aurai vu, je ne résisterai pas à entrer dans les polémiques.
    Comment ça les Who n’ont jamais sorti de grand album? Ca va pas la tête? Et Who’s Next?
    :-D

  28. 28 arbobo on janvier 6, 2010 13:57

    on se croirait sur le plateau de “droit de réponse” ^^

    vos comms prouvent bien que la sélection de 10 albums ne peu être qu’un moyen de se faire plaisir, pas de faire consensus :-)

    personne pour rappeler Pink floyd, alors je m’y colle :-)
    avec Saucerfull et Meddle en albums parfaits :-)

    pour les Beatles j’ai assez répété que Sergent n’arrive pour moi qu’en 4e ou 4e position (5e?),
    pour les Stones, entre Aftermath, Sticky, Beggars, mon coeur balance

  29. 29 Guic' the old on janvier 6, 2010 14:28

    Who’s Next?

    3 grands morceaux (2 hymnes et une ballade grandiose) et du remplissage en mode boogie / hard / gros cul. (Je vous renvoie à l’excellllent article de PlanetGong sur le sujet)

    Non, le vrai grand bon album des Who, ca restera toujours “The Who Sell out”. La preuve: pas de vrai single. (A la place ils sortaient Pictures of Lily en single à côté, on va pas se plaindre)

  30. 30 arbobo on janvier 6, 2010 14:35

    c’est vrai, mais hormis dans Outside de Bowie,
    les albums truffés de jingles et de mini transitions ont tendance à me saouler, ou plutôt ces transitions me saoulent et je les zappe autant que je peux

  31. 31 Mmarsupilami on janvier 6, 2010 20:01

    Si c’est Guic’ the Old qui le dit, c’est que c’est vrai!
    ;-)

Name

Email

Site web

Commenter

XHTML: Balises possibles: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>


Subscribe

Tags

Archives

Par Date

Par categorie