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Topic: ABC EFG, transversales
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Le masque la plume : les “personnages” dans le rock

par arbobo | imprimer | 5oct 2006

Parmi les disques qui m’ont marqué ces dernières années, il y en a un d’un genre particulier. Lady and Bird n’est pas seulement un duo, composé de Keren Ann et Bardi Johannsson. Une interview un brin surréaliste dévoile le fond du projet : dans ce duo, il n’y pas de Keren Ann, elle EST Lady, et son compagnon EST Bird. Tous deux sont des enfants, qui évoluent dans un univers de conte, assez effrayant. Apparemment les deux se sont suffismment pris au jeu pour incarner ces personnages à fond(1).

Ca n’a rien de nouveau, me direz-vous à raison. Pas plus tard que maintenant, un zigoto groovy se fait appeler ”M” d’apparence spécifique qui les distingue de leur identité solo. Leurs voix trafiquées et leur déclarations sous LSD suffisent à convaincre de la présence de leurs personnages. Chédid, lui, ajoute du décorum, et une coiffure qui fait oublier son visage (pour lequel, de source sûre, les femmes craquent volontiers). Il est à fond dans un personnage de scène, et en interview il s’autorise à redevenir lui-même. Mais c’est bien d’un personnage qu’il s’agit, pas d’un simple pseudo. Quand Chan Marshall ou Neil Hannon choisissent des noms de scène qui laissent penser qu’ils sont des groupes et non des artistes solo, c’est une manière de gagner de la liberté, mais ça s’arrête là.
Aucune biographie fantôme, aucun fantoche pour “faire office de” le temps d’une photo, aucun Milli Vanili ou Boney M pour faire oublier que c’est le producteur qui chante. Cat Power, Divine Comedy, ne sont que des pseudonymes, rien de plus. Et rien dans leur démarche ne laisse croire à autre chose. Quant-au dédoublement de Gainsbourg devenu Gainsbarre, cela révèle plus un détachement de soi, un abandon, et s’il y a bien une façade on n’a rien de comparable à l’invention d’un personnage construit.

D’ailleurs rien n’oblige à rester prisonnier d’un personnage, d’en devenir la créature. David Bowie a fait vivre et mourir plus d’un alter ego. Parfois un personnage sert de fil conducteur à un disque, comme Melody Nelson pour Gainsbourg, comme le Major Tom (Space oddity) ou Nathan Adler (Outside) pour Bowie. Mais Bowie est aussi allé beaucoup plus loin. Comme Lady & Bird, il est allé jusqu’à ETRE Ziggy Stardust, un Ziggy qu’il a dû “tuer” officiellementsur scène, avec annonce, faire part, pour y mettre fin une fois pour toute.
et sculpte ses cheveux de façon à ce qu’on ne fasse pas de faute d’orthographe en l’écrivant. Lady & Bird n’ont pas adopté de déguisement, de masque,

Un de ses personnages suivant, the Thin White Duke, n’a pas généré un engouement aussi puissant et ses funérailles sont resté plus discrètes. Le génial Bowie reste unique en son genre. On compte à peine tous les personnages qu’il a incarnés, Major Tom, Ziggy, Pierrot, the Thin white duke, Nathan Adler…

Je ne connais pas très bien Prince, mais sa période “love symbol” était, je crois, bien plus à ses yeux qu’un simplement changement de nom ou un coup marketing.

Et puis il y a les cas à part. Les invisibles. Dans des registres très différents, les vétérans The Residents, dont personne n’a jamais vu le visage en photo, et Daft Punk, qui a beaucoup travaillé à faire oublier que leurs visages sont parus dans la presse et cultivent le masque.

Dès qu’on cherche une exception on en trouve… plusieurs ;-)  Ainsi de Kraftwerk, objectivement un duo durant quasiment toute leur existence, ils se sont toujours produits à 4 sur scène, cultivant par le costume, la posture et le gabarit, une indifférenciation qui les fait ressembler à 4 droïdes sortis du même atelier.

(1) en 2011, le duo de soi-disant frère-soeur The narcoleptic dancers a fait toutes ses interviews dans la peau de leur personnage pureme,t fictifs.



Comments

1 Commentaire


  1. 1 arbobo on janvier 8, 2012 14:26

    Théorie:
    Arbobo est le double d’un nom qu’on ne peut pas citer sous peine de changer la face du monde.
    Car invoquer le nom ineffable de dieu n’est pas donné à n’importe qui: seule Lilith le connaissait et s’en servit.

    “pour lequel, de source sûre, les femmes craquent volontiers” heu…
    bon voilà je suis pas une fââme, ça se confirme tous les jours.

    XX7
    Commentaire n°1 posté par laurence le 05/10/2006 à 02h50

    Dans la série des invisibles, on peut rajouter Gorillaz. Je ne les ai malheureusement pas vu en concert, mais il parait que là aussi on ne voyait que leurs personnages BD, eux jouaient derrière un rideau…

    A mon avis, ce dédoublement sert surtout aux artistes à pouvoir mener plusieurs projets différents en même temps, tout en gardant une identité propre dans chaque cas. C’est vrai pour M qui redevient Mathieu Chedid dès qu’il ne s’agit plus de sa carrière solo, et ça l’est encoe plus pour Demon Albarn qui est un touche-à-tout.

    J’ajouterai que pour M, ça l’a aidé à se démarquer de son père au début, comme Arthur H qui ne voulait pas qu’on dise Higelin…. ;-)

    j’aime bien ces dfférents personnages, tant qu’ils redeviennent eux-même de temps en temps.
    Commentaire n°2 posté par rififi le 05/10/2006 à 10h33

    bien vu rififi pour les Gorillaz !
    on peut ausis penser à Bonnie Prince Billy, et actuellement au Duo avec Helena Noguera, Dillinger girl & Baby face Nelson.

    pour M, c’était un clin d’oeil à une erpsonne qui de toute façon, si j’ai bien compris, ne lit pas ce blog ;-) Et comme on m’a dit que ce type, que je trouve très peu photogénique, est très mignon en vrai, je tenais donc à déclarer que je ne suis PAS DU TOUT photogénique. Mais alors pas du tout ;o)
    Commentaire n°3 posté par arbobo le 05/10/2006 à 11h57

    fait gaffe, y’a des photos sur le ouèb ;-)
    Commentaire n°4 posté par rififi le 05/10/2006 à 12h13

    La drague par chleuasme iconographique, alors là, c’est fort…
    Commentaire n°5 posté par laurence le 05/10/2006 à 12h22

    j’ai donné un jour un lien sur lequel on trouve effectivement ma bouille ;-)

    sinon y’a aussi le calendrier des dieux du stade, mais curieusement ils ne m’ont pas gardé pour le…. tirage final
    Commentaire n°6 posté par arbobo le 05/10/2006 à 12h37

    ha bon?
    m’a échappé le lien
    la bouille aussi du coup
    bon je repikautruk
    comme je voudrais dormir…
    Commentaire n°7 posté par laurence le 05/10/2006 à 13h13

    t’as déjà vu une trompette en boucher ?

    en bouche hé oui : une trompinette alors et amuse gueule !
    Commentaire n°8 posté par cactus aime le mot dit le 05/10/2006 à 16h39

    Coucou: des douceurs, des douceurs, des douceurs.
    Voilà voilà.
    :-)
    Commentaire n°9 posté par laurence le 05/10/2006 à 23h31

    Prince a créé un peu des personnages, dont certains dans des films qui sont généralement de grosses daubes, mais aussi il a surtout créé pas mal de pseudos pour composer pour d’autres : Christopher, Joey Coco, Jamie Starr… Par exemple, Manic Monday des Bangles, c’est Prince. Il y en a des centaines (on estime à environ 600 morceaux !).

    Pire, il a monté des groupes de A à Z ou a ramassé des nazes et des génies dans le caniveau, leur a composé des albums entiers, les a fait tourné, etc. : Sheila E, The Time, Jill Jones, Vanity 6 (il a baptisé Vanity, et voulait même l’appeler Vagina !), Aphrodisia 6, Mavis Staples (oui, des stapels sisters !), The family (”Nothing compares 2 U” repris plus tard par Sinead O’ Connor) etc.
    Rien que dans The Time, il faisait jouer de futures stars du funk : Morris Day, Jesse Jonhson ou les super-producteurs Jimmy Jam et Terry Lewis, mais ne leur laissais quasiment aucun droit à la musique et même à l’image !

    Il a aussi monté des groupes autour de lui dont l’un digne de the Experience (Jimi Hendrix) ou du Crazy Horse (Neil Young) : The Revolution. Il y a aussi eu the New power Generation et d’autres.

    Prince n’est d’ailleurs qu’un prénom de Prince Roger Nelson

    Enfin, Love symbol, ou the artist formerly known as prince ne sont que des trouvailles pour contourner son contrat d’exclusivité avec Warner et produire sa musique comme il l’entendait (il s’est construit son propre label + complexe de studios d’enregistrement en 85 : Paisley Park ; il a été l’un des premiers à vendre des albums que sur Internet, etc.)

    Je passe, on en ferait des romans.

    Autre Prince, cité par Arbobo, Bonnie Prince Billy n’est pas un trio formé de Bonnie Tyler, Prince et Billy Joel, mais l’un des pseudos conceptuels de l’excellent Will Oldham. Il vient d’ailleurs de sortir un nouvel album de BPB il y a quelques semaines. Il a aussi créé le Palace Brothers, Palace music, etc.

    Jouant derrière un rideau, avec des accointances fortes avec Gorillaz (mais pas de mélange des équipes contrairement à la rumeur), les excellents Puppetmastaz font jouer des marionettes comme un Muppet Show des 2000’s.

    Rappelons nous que les concept albums des Beatles, premeirs du genre, étaioent en plus souvent construits sur la construction de personnages : Yellow submarine et magical Mistery Tour (avec des films à chaque fois) et bien entendu Sgt Pepper Lonely Heart Club Band.

    Des tas de groupes se sont aussi masqués, grimmés (comme Kiss, cf http://www.pop-hits.info), etc.

    Mais oui, s’il fallait n’en retenir qu’un seul, Bowie a changé (Ch.. ch.. changes !) tellement de fois de personnages concept que c’en est indépassable.
    Mon préféré : nathan Adler (Outside)
    Mon chochou : le clown de Ashes to ashes
    Le plus fabuleux : Ziggy, sans conteste.

    Bon, allez, à vous.

    hhq
    Commentaire n°10 posté par Christophe le 06/10/2006 à 12h42

    Heureusement que tu n’as pas été retenu pour la version finale des Dieux du stade… Ces types sont tous trop musclés, ça ne doit pas être très confortable. J’ai jamais compris ce que ça pouvait générer come fantasmes. Alors qu’une belle voix qui vous sussure des gentillesses dans les oreilles… Miam !
    Commentaire n°11 posté par Anna le 06/10/2006 à 12h43

    en fait raison anna c’est qu’ils n’ont pas trouvé de ballon assez petit pour moi…

    christophe, halte là sur Mavis Staples. Beaucoup de gloires soul-funk des années 70 ont sombré durant les années 80, mais avant ça Mavis Staples a fait des trucs vraiment excellents en solo après avoir quitté les singers.
    au fait, tu dis clown mais biographies disent que c’était un Pierrot, et non un clown blanc.
    Commentaire n°12 posté par arbobo le 06/10/2006 à 12h51

    Math : pourquoi tu t’énerves sur Mavis, on est d’accord, et j’ai dit qu’il avait ramassés des nazes et des génies dans le caniveau, car Mavis était dans le caniveau et une voix géniale. Tu aurais pas oublié tes cachets ce matin toi ? ;-)

    Pour le Pierrot, ça me dit quelque chose, mais je n’avais pas percuté que c’était le personnage de Ashes to ashes. En fait, je l’ai toujours vu comme un clown blanc, qui me faisait peur quand j’était petit (je n’aime pas le cirque et encore moins le clown blanc, connard prétentieux et inquiétant).

    ksq tu me cherche des noises alors ?
    Commentaire n°13 posté par Christophe le 06/10/2006 à 13h00

    ” Ces types sont tous trop musclés, ça ne doit pas être très confortable. J’ai jamais compris ce que ça pouvait générer come fantasmes. Alors qu’une belle voix qui vous sussure des gentillesses dans les oreilles… Miam !”

    tout pareil. surtout les gentillesses :-)

    ces tas de viande (ben quoi le muscle c’est la viande que vous mangez, nan?) ça me laisse froide.
    les tas de gras, aussi, notez, passke j’en ai déjà assez sur moi.

    Commentaire n°14 posté par laurence le 06/10/2006 à 13h33

    Me souviens bien d’un clown blanc dans le clip psyché de Ashes to Ashes.

    Je dis ça mais c’est juste pour parler hein et faire remonter Arbobo dans le blog rank (j’ai senti comme une pointe de jalousie dans les commentaires d’un autre blog que je ne citerai pas pour pas cirer les pompes de Djac… oups)
    Commentaire n°15 posté par sev le 06/10/2006 à 13h47

    oué plutôt clown blanc (costume moulé, sourcil marqué+ bonnet conique) que pierrot (fraise, costume flou bonnet noir)
    mais bon..
    Commentaire n°16 posté par laurence le 06/10/2006 à 13h54

    merdeuh j’ai un doute, je me souviens plus comment il était habillé.
    je vais chercher
    Commentaire n°17 posté par laurence le 06/10/2006 à 14h16

    Va sur Gogol images, 6ème page, en bas, t’as un aperçu du haut, c’est… hum… comment dirais-je… bowien.
    Commentaire n°18 posté par sev àlaurence le 06/10/2006 à 14h21

    gogol images et tape David Bowie… pouf pouf
    Commentaire n°19 posté par sev àlaurence le 06/10/2006 à 14h23

    oui j’ai gogolimagé: j’ai cherché bowie, pierrot, clown blanc et tout à la fois.

    Alors je maintiens: plutôt clown blanc que pierrot.
    enfin, c’est anecdotique.

    6F6 (36)
    Commentaire n°20 posté par laurence le 06/10/2006 à 14h26

    le “Pierrot in turquoise” :
    http://www.ananova.com/images/web/61727.jpg
    http://www.illustrated-db-discography.nl/12inch/pix/Ashes.jpg
    il avait joué le eprsonnage en 1967 :
    http://xoomer.alice.it/life_on_mars/teatro.html

    sev, c’est gentil de penser à mon blog rank. C’est pas exactement de la jalousie, mais effectivement continuer à augmenter ma fréquentation reste un objectif avoué.
    Commentaire n°21 posté par arbobo le 06/10/2006 à 14h26

    mais je suis gentille!

    et hop un commentaire de plus… arf arf
    Commentaire n°22 posté par sev àarbobo le 06/10/2006 à 14h35

    M’en fous j’ai décidé que pour une fois j’aurais raison face à arbobo.
    comme ça n’arrive jamais, on va dire que c’est pour mon égo.
    alors le pierrot argenté vaguement à reflets turquoise, pour moi, il est clown blanc.
    il existe d’ailleurs les mêmes images que tu nous proposes en lien avec la dénomination clown éventuellement blanc.
    or pierrot n’est pas un clown.
    bon.

    oui je fais un caprice, après tout, j’ai le droit.
    Commentaire n°23 posté par laurence le 06/10/2006 à 14h37

    “j’aurais raison” hahahahha
    notez le S
    …. même mon lapsus clavieri trahit l’impossibilité d’avoir raison face à l’arbie and coke.
    chuis foutue.pas d’espoir.
    mon ego est dans les chaussettes
    et je vais me souler à coup de tisane thym-miel.
    Commentaire n°24 posté par laurence le 06/10/2006 à 14h48

    Arbobo : ne pas oublier que ce n’est pas la taille qui compte mais la manière dont on s’en sert :-)
    Commentaire n°25 posté par Anna le 06/10/2006 à 14h52

    Anna parle probablement du clavier… Anna enfin tu te laisses aller!
    Commentaire n°26 posté par sev le 06/10/2006 à 14h57

    Non, pas du tout, imagine un adolescent avec un tout petit zizi qui passe par là, si je n’avais rien dit il serait resté sur l’impression que la taille compte beaucoup, alors que non, et c’est une femme hétérosexuelle qui vous le dit.
    Commentaire n°27 posté par Anna le 06/10/2006 à 14h59

    Sans compter que j’ai lu dans un journal médical que si la taille au repos varie pas mal c’est nettement moins le cas de la taille en érection.
    Commentaire n°28 posté par Anna le 06/10/2006 à 15h00

    Mais bref, pardon, c’est de musique qu’on parlait. Et vous, euh, vous écoutez quoi en ce moment ?
    Commentaire n°29 posté par Anna le 06/10/2006 à 15h24

    moi, j’écoute mes 30 centimètres….
    Commentaire n°30 posté par arbobo le 06/10/2006 à 15h33

    Pfff… z’êtes pas facile à suivre, comme s’il y avait pas assez de clowns autour de moi ! :-(

    c’est qu’il faut que je bouge, moi, pour les stats… et contrairement à ce que vous pensez (si, si, je le sais bien) j’ai ausi un peu de boulot :-(
    Commentaire n°31 posté par rififi le 06/10/2006 à 15h49

    moi j’écoute plus rien ma chaine a mouru, enfin le lecteur cd avec un cd bloqué dedans, c’teu loose.

    *** idée: je vais brancher ma vieille platine 33t
    hahaha pourquoi j’y ai pas pensé plus tôt?
    plongée dans la nostalgie.

    Hey size doesn’t matter, bon sang, va falloir le dire comment?
    Stas don’t matter, itou, noméalors
    Commentaire n°32 posté par laurencefrustreedezike le 06/10/2006 à 16h16

    c’était donc toi la plume , tu es démasqué !

    mais quel plaisir de te voir ainsi vêtu point vétuste juste un peu tétu tête nue sous une pluie de louanges méritées !
    Commentaire n°33 posté par cactus aime le mot dit le 06/10/2006 à 17h58

    Merci les filles d’avoir défendu vaillamment la thèse du clown blanc.
    Bon, maintenant, l’heure du héros : le clown blanc est l’une des nombreuses variations… du Pierrot.
    Reste donc que nous avons tous raisons, le clown blanc étant nommé dans la littérature anglosaxonne du 19e (âge d’or des Pierrot) “Pierrot ” en français dans le texte.

    Mais l’histoire ne dit pas s’il avait une grosse quéquette.

    pt8 (luxembourg : eight points)
    Commentaire n°34 posté par Christophe le 06/10/2006 à 18h03

    Christophe tu te trompes d’éfélant là car l’histoire le dit si lecture subliminale pour ta quête là !

    ps : DSK ,recopier l’image là : est-ce un mauvais présage ? encore un drôle de Pierrot !
    Commentaire n°35 posté par cactus aime le mot dit le 06/10/2006 à 18h07

    “le clown blanc est l’une des nombreuses variations… du Pierrot.”
    bé voui mais il n’a pas les mêmes spécificités (caractère, character… etc)
    Commentaire n°36 posté par laurence le 06/10/2006 à 18h21

    Huysmans et Hennique ont d’ailleurs écrit sur l’une des variantes, Pierrot sceptique, qui me fait penser à celui d’ashes to ashes

    tb9
    Commentaire n°37 posté par Christophe le 06/10/2006 à 18h59

    Je comprends de moins en moins ce blog.
    Là, par exemple, je ne saisis pas ce que vient faire la bite de Pierre Perret là-dedans.
    Ça m’échappe.
    Commentaire n°38 posté par Djac Baweur le 06/10/2006 à 21h59

    Le ZIZI de Pierre Perret, pas sa bite mossieur Baweur
    Commentaire n°39 posté par Christophe le 07/10/2006 à 00h56

    Pierrot et le clown, même origine?

    j’avoue que ça ne m’avait pas traversé l’esprit.
    Commentaire n°40 posté par arbobo le 07/10/2006 à 12h22

    Non, pas tous les clowns, seulement le clown blanc, qui est en filiation avec le Pierrot. En fait, ce n’est pas si rigide, puisque des personnages comme Arlequin se sont construits aussi sur une diversité d’influences.
    A chaque époque, on retiendra des archétypes incarnés par des personnages, qui traduisent les caractères moraux et sociaux.
    Bon, d’accord, j’arrête, ça vous gave.

    t9t (t’es neuf té ?)
    Commentaire n°41 posté par Christophe le 07/10/2006 à 12h56

    j’emploie pas d’immondes vulgarités comme vous, mossieur Christophe, je suis bien élevé, moi.
    Commentaire n°42 posté par Djac Baweur le 07/10/2006 à 13h21

    Ah pardon, grossier oui, mais jamais vulgaire. Je ne m’appelle pas Marc Antoine.

    42l
    Commentaire n°43 posté par Christophe le 07/10/2006 à 14h49

    He M’sieur Baweur ! en plus, moi, je ne tire pas des pruneaux dans le genou des gens rien que pour qu’ils me fassent la causette, moi.
    Facho va ! ;-) (je mets un smiley parce que matouze m’a laissé entendre que j’était moi-même aussi un peu brutal comme garçon quand je cause sur le web de l’internet)

    5rf (Marianne a 5 enfants…)
    Commentaire n°44 posté par Christophe le 07/10/2006 à 14h53

    Mon premier souvenir de chanteurs/musiciens grimes, c est dans Phantom of the paradise.
    Kiss a tout pique a ce film musical !
    Commentaire n°45 posté par sensi le 07/10/2006 à 15h50

    carrément :-)
    tu penses à celui de De Palma? un de ses rares films que je trouve pas spécialement raté.
    Commentaire n°46 posté par arbobo le 07/10/2006 à 16h26

    Ah non ! Ah non ! Kiss a commencé a se maquiller dès sa création en 1973, alors que Phantom OTP est de 74 ou 75. Alors hein, venez pas chier dans les plateforme boots de gene simmons !

    Et puis en 73 Marc Bolan (T Rex) avait déjà fait pas mal le mariole dans le genre glitter bariolé, un peu moins pour Bowie alors (ça allait venir). Les New York Dolls n’étaient pas mal non plus en 72-73.

    Et, dans un autre genre musical, Peter Gabriel se déguisait et créait des personnages dès les débuts de Genesis, en tout cas sûr qu’il était grimmé dès les concerts de Nursery Cryme (vers 71), avec de fortes influences du monde de Lewis Caroll.

    Sans oublier nos grands travestis français : Carlos et Annie Cordy dès le début des 70’s, Henri Salvador au mitan des 70, et bien avant Marcel Amont (j’ai un album d’opérettes où il joue une douzaine de personnages différents, tous plus baroques les uns que les autres, sorti avant Le mexicain (62) où il était déguisé sur la pochette du 45t).
    Et les Frères Jacques avaient dans les années 50 un look qui n’aurait pas déplu à Bowie.

    Alors vous voyez, de palma, il peut aller se rabiller avec sa daube.
    Commentaire n°47 posté par Christophe le 07/10/2006 à 22h58

    mais je croyais que le Phantom de Palma n’était pas le premier.
    et le rocky horror, c’est quand?
    Commentaire n°48 posté par arbobo le 08/10/2006 à 11h36

    1975 non?
    Commentaire n°49 posté par laurence le 08/10/2006 à 11h38

    Ouais et phantom 74.

    dans la série “je suis en manque” vu que mon lecteur cd est mort, et que je peux pas tenir sans un peu de son (comme les ânes, quoi) je viens de brancher une brave vieille platine 33t.
    Et que retrouvé-je dans le vieux coffre en osier?
    Le 45t de ashes to ashes.
    (souvenir: c’était un achat de mon frère)

    pompompom
    oh lalala toutes ces vieilles choses….
    et même du 78t
    rides, rides, rides…
    non non, on dit: sillons!!
    Commentaire n°50 posté par laurence le 08/10/2006 à 14h14

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