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Topic: arbobo, des disques...
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Ca s’est pas passé comme prévu… (une année 2010 #2 : ratages et nullitudes)

par arbobo | imprimer | 27déc 2010

Dans un palmarès de fin d’année il y a les joies durables, et puis les déceptions. L’an dernier on en avait déjà un paquet ^^

De certains on n’attendait rien, donc on est sans regret. Mais d’autres, soit en raison de leur passé glorieux, soit parce qu’ils sont entourés d’un battage médiatique exagéré, on a cru un moment pouvoir espérer un grand disque.

Entre ceux qui ont sorti des merdes innommables, et ceux qui ont sorti un disque honnête mais sans commune mesure avec le nombre de couvertures et articles élogieux, on se dit qu’on est parfois pris pour des dindes et que pour la farce, on est servis.
Tout avait bien commencé mais… ça s’est pas passé comme prévu :-(

En presque 500 disques, l’année 2010 nous a apporté pas mal de plaisirs mais aussi de vraies déception et de sérieux foutages de gueule.
C’est le moment de régler nos comptes.

Trop c’est trop

Arcade fire, estapillés “sauveurs du rock” par des Inrocks qu’on a connus plus difficiles en la matière, ont tout bonnement sorti le moins bon de leurs 3 albums. Un disque qui s’écoute sans agacement mais sans joie, un disque terriblement banal. On se dit que les admirateurs zélés, en plus d’avoir de l’émeri dans les oreilles (décider à l’avance de la qualité d’un disque, avant de l’avoir écouté, quelle défaite du goût et quelle abandon de sa propre sensibilité), ne rendent pas service à ce groupe qui a essayé de ne pas trop en rajouter (et de leur part c’est jamais gagné).

Pour tout dire, même MGMT, avec un disque en dents de scie et sans génie, usurpe moins sa place dans les classements de fin d’année. Ajoutons encore dans cette rubrique des disques surestimés, un Gorillaz sans saveur et un LCD soundsystem en roue libre qui n’ont marché que grâce à une énorme fan-base et une cote d’amour qui, on le sait, rend aveugles les oreilles.

Que les vrais fans achètent ces disques, on le comprend sans peine, ils sont dans une honnête moyenne et on aime avoir une relation suivie avec certains artistes. De là à crier sur les toits que ce sont de super albums et les placer dans des palmarès… il faut savoir raison garder.

Catégorie à part entière, The age of adz de Sufjan Stevens a le mérite de surprendre (comme un kouglof à la saucisse et aux pissenlits, remarque, ça surprend, surtout au début, enfin surtout pendant, et puis le médecin se marre bien quand on lui explique pourquoi on veut un lavage d’estomac). En fait celui-ci on comprend à peu près pourquoi il a tant de défenseurs. Mais ils peuvent se brosser pour qu’on se joigne à eux ^^

Reste le cas Shearwater, groupe qui a atteint un tel sommet avec Rooks qu’on avait fini par ne plus se méfier de tendances au pathos, au lyrisme excessif de Jonathan Meiburg. Va falloir se reprendre mec, pour ne pas finir comme Muse ou Queen !

Quand trop c’est trop, ça se passe d’illustration. Mais on en a mis une quand même.

Aloe Blacc, Cee-Lo Green & Janelle Monae

On attend beaucoup d’une nouvelle génération de groove, qu’elle soit moderne et accrocheuse, hybride, dansante et détonante.
Ces artistes là sont portés par un tube,  parfois très bon (I need a dollar, Fuck you), mais leurs albums sentent le remplissage et démontrent très exactement le contraire de ce qu’on leur prête à longueur d’article : non, décidément, ils n’ont pas des masses d’ambition. Quant-au talent, ils en ont c’est vrai mais en quantité limitée. C’est toujours plus que Plan B dont il n’y a pas grand chose à tirer.
Pas comme les marketteux qui pilotent en coulisse les matraquages radio et sont les seuls vrais responsables de ces succès commerciaux. Le marketing n’a pas déçu, soit, mais c’est bien le seul.

Déçu, déçu, déçu

Déçu, on l’est paradoxalement de voir tant de concerts excellents programmés, et souvent peu de monde pour y assister. Au risque de se répéter et de surprendre, la richesse de la programmation musicale à Paris n’a rien à envier à Londres ou New York. A ce point, c’est très récent, et il n’est pas dit qu’avec des salles souvent désertes cela dure encore bien longtemps. Eh oui, chers parigots, tout le monde se plaint mais nous vivons un âge d’or, c’est la vérité. Pourquoi déçu, alors? Déçu que nous ne soyons pas plus nombreux à en profiter.

"fader"??? De plus en plus fade, vous voulez dire?

"Fader"... vous voulez dire de plus en plus fade?

Déçu par l’Anelka du crossover tamoule, M.I.A, perdue entre bling blig et déclarations politiques foireuses, tellement perdue qu’elle a cru que son album était prêt et qu’elle l’a sorti tel quel sans vérifier. La boulette :-/
Déçu par les Christine Arron de la French touch, Daft punk, qui ont rarement terminé une course depuis le record établi dans leur prime jeunesse, et dont on commence à se lasser d’attendre quelque chose de décent. La bande originale de Tron heritage est un hold up réussi (on n’ose pas imaginer le nombre de zéros avant la virgule alignés par Disney), pour eux. C’est aussi une belle escroquerie. Le duo vient officiellement d’entrer dans le club prestigieux des has been.

Déçu parce que les “grands” font des albums moyens. Hormis Gil Scott-Heron et Neil young revenus du diable Vauvert, les disques les plus attendus ont été assez moyen, ni le LCD ni le Massive attack, ni le National, ni le Tindersticks, ni le Arcade fire, ni le Gorillaz, ni le Midlake, ni le Black keys, ne resteront comme un des meilleurs albums de ces artistes. Si les têtes d’affiche ne tirent pas le niveau vers le haut, ne nous étonnons pas du peu d’albums splendides. Espérons que PJ Harvey et Cat Power nous feront mentir en 2011…

Déçu par le “retour” de la musique à la télé. Des captations de concerts entre 3 et 5 heures du matin en semaine pour couvrir les quotas du cahier des charges. Super. Et en prime, Daniela Lombroso et Laurie Cholewa qui rivalisent de veulerie sur le service public.
Il parait qu’en Allemagne ils ont pire, pour combler les fans de Derrik le vendredi soir. C’est vraiment censé nous rassurer? Seule amélioration réelle, le son télé des live du Grand journal de C+ est ENFIN correct. Ils ont mis le temps, mais c’est toujours ça de pris, car certains soirs quand ce n’est pas Justin Biberon ou les Pussycat dolls, on a droit à Gossip ou Camelia Jordana. Pas dit que ça compense l’insupportable Tania, malheureusement.

Dernière déception, ce foutu modèle d’écoute en ligne qui peine à émerger. Le temps de la concentration arrive (fermeture de Jiwa, rachat de Wormee par Deezer), ça veut dire que le round d’observation est terminé, fini de rire il va falloir cracher au bassinet. Sauf que devoir payer pour écouter en streaming, comment dire…

Par où t’es rentré, on t’as pas vu sortir?

Ce titre emprunté au nanar de Philippe Clair résume assez bien le deuxième album de Vampire weekend, Contra. Il y a 3 ans, nous avions participé au buzz autour de ce joyeux groupe qui nous avait bien plu sur scène malgré une Maroquinerie désespérément vide. Nous aurions du mieux interpréter ce signe du destin et comprendre que malgré leur air bonace et des côtés fort sympathiques, y’a pas grand chose à voir.
De même on a eu tort de croire que les Scissor sisters étaient cool. Ils ont fait 2 tubes sur leur album précédent, et ils auraient mieux fait de s’arrêter là. N’écoutez jamais leur disque 2010, c’est un conseil. D’ailleurs on a songé à les mettre dans la catégorie suivante.

Les come back qui n’intéressent personne

Dans l’ensemble pas grand monde n’aura parlé de ces gloires du passé qui n’ont pas renoncé à publier des disques. Il suffit d’écouter leur dernière production pour comprendre que le silence qui a accompagné leur sortie est encore ce qu’on pouvait faire de plus poli. Nous n’aurons pas autant d’indulgence ni de savoir vivre ;-)
Petite liste des outrages infligés à la mémoire et à la musique (enfin surtout de la part d’OMD, ce n’est plus un outrage mais un attentat!).
Peter Gabriel et Edwyn collins ont sorti des disques honnêtes, écoutables. Bref sans intérêt. Quoique le Crowded house et le Sade soient encore plus dénués d’intérêt. Quant-à ceux qui suivent, ils ont tapé un grand coup… sur nos nerfs !
Marc Almond Variété ; Lloyd Cole Broken record ; Jimi Hendrix Valleys of Neptune ; Kylie Minogue Aphrodite ; Santana guitar heaven ; OMD History of modern ; Kim Wilde come out and play.
Vous avez entendu parler de ces disques? Non? Vous en avez de la chance.

Vous croyez qu’on a touché le fond? Merdalors, on aimerait, vraiment on aimerait, mais le pire reste à venir.

Le fou rire 2010

Il y a rude concurrence pour le prix de l’humour involontaire. A force de concourir Grand corps malade est en passe de gagner un prix à vie pour l’ensemble de son oeuvre.

Mais en 2010, personne n’aura pu égaler le comique involontaire de Cali avec le titre grotesque de son nouvel album. Même Alison Goldfrapp n’a pas fait aussi fort, et pourtant elle a creusé le fond du trou avec une indéniable énergie.

Quand on voit la pochette de Head first, on se dit que le meilleur est à l’intérieur. Eh bien, c’était ça, la blague. Certains artistes ont décidé de précipiter la fin du CD. Si c’est le seul moyen pour qu’ils arrêtent les dégâts, on est prêt à obtempérer.

Allez, reniffler un dernier coup dans le mouchoir et reprenez vos esprits. Tout n’est pas si triste. Le scrooge ne gâchera pas totalement cette fin d’année. Car les bons disques, il y en a eu (aussi). On a même eu un mal fou à n’en garder que 50. Mais ça, c’est une autre histoire, qu’on vous dévoilera en 3 parties en fin de semaine.

7 jours pour se rappeler 2010

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Comments

16 Commentaires


  1. 1 Mmarsupilami on décembre 27, 2010 9:38

    Hello, l’ami. Cela fait un petit temps que je me demande pourquoi tu vas par monts et par vaux, criant ta déception. Tout simplement que cela m’inquiète de te voir broyer du noir alors que tu dois plutôt servir de phare aux petits esquifs perdus sur l’océan musical. Et là, mis en mots, tout à coup, je comprends. Et ça me rassure aussi. Cette chronique, c’est quasiment le cimetière des éléphants, non? C’est vrai qu’au contraire des oiseaux, ils ne se cachent pas pour mourir. Tu as bien fait de commencer par ceci. Passons ensuite -j’en suis impatient- aux choses sérieuses et aux cinquante petits et gros cadeaux qui garnissent ta hotte…

    Voilà même que, dans mon lyrisme de fin d’année, je te prends pour le père Noël!
    :-DD

    En toute sympathie!
    Que l’année 2011 te soit rock and roll…

  2. 2 Christophe on décembre 27, 2010 10:28

    A part pour le Sufja Stevens où tu n’as rien compris ou alors ou tu fais semblant exprès pour te rendre intéressant, ça me paraît un juste portrait de l’année, même si j’aurais cité d’autres artistes (et surtout j’en aurais cité beaucoup moins…).

    Pour les grands retours, tu n’as pas parlé du Swans : content ou déçu ? Pour ma part, je trouve ça pas mal, mais comme je ne connaissais absolument pas leur existence, ce n’est pas un come back pour moi.

    pour Kylie, je n’avais même pas vu.

    Très bonne illustrations !

  3. 3 Arbobo on décembre 27, 2010 10:40

    swans, je vois pas l’intérêt d’en parler, je trouve pas ça mauvais mais j’ai déjà oublié, ça doit pas être min truc.

    Pour Sufjan, je crains que ce soit toi qui es trop sensible a l’esbroufe, change de voiture et tu comprendras :o)

  4. 4 Arbobo on décembre 27, 2010 10:42

    Uh uhmmarsu, cimetière deselephants comme tu y vas, j’ai pas parlé de U2 ou Phil Collins non plus ;-)

  5. 5 mmarsupilami on décembre 27, 2010 10:51

    Tu eusses pu! Tu eusses pu!
    ;-D

  6. 6 J-P. on décembre 27, 2010 16:29

    Ah ! A la fois très drôle et pertinent (sauf peut-être à propos de Lloyd Cole… il vrai que je n’ai pas encore écouté le dernier album ; mais je me réjouis de le voir enfin sur scène en mars prochain à Lyon !)

    Sinon OUI, mille fois oui concernant les disques d’Arcade Fire & de Sufjan Stevens. Le “meilleur moment” après l’indigestion provoquée par “The Adge Of Adz”, c’est quand tu redécouvres le plaisir simple d’écouter de la musique sobre et honnête…

    Je sens que je vais apprécier ton Top… surtout si j’y retrouve les albums de Jenn Ghetto ou de Natureboy (entre autres sans oublier Damien Jurado !) @ bientôt !

  7. 7 dr frankNfurter on décembre 28, 2010 12:46

    yeaaaaah une référence au film de Philou Clair, c’est la grande classe :-D

  8. 8 sensi on décembre 28, 2010 14:37

    ha bah voila, c’est suffisamment rare pour que je le dise : je partage totalement tes coups de gueule, avec mention spéciale pour Arcade Fire, MGMT, Aloe Blacc et surtout LCD Soundsystems dont le concert a été le plus mauvais de l’année 2010 !

    Et quand est-ce que tu pointes ton nez sur Twitter au fait ? :p

  9. 9 lyle on décembre 28, 2010 21:12

    Mes daubes à moi (et rien qu’à moi) sont sur jécoute… mais c’est vrai qu’il y a eu beaucoup de mauvais trucs et de déceptions en 2010 !

  10. 10 arbobo on décembre 28, 2010 21:15

    on est même d’accord sur quelques unes ;-)

  11. 11 lyle on décembre 28, 2010 22:08

    Oui, moi aussi je vais défoncer le OMD… :-)

    Et aussi (exclusivité mondiale pour arbobo.fr) : le Gush !

  12. 12 arbobo on décembre 28, 2010 22:27

    uh uh, pauvres Gush, ils sont d’excellents performers pourtant.

    Sensi, on est plus souvent en phase qu’il y parait finalement, ça me fait plaisir :-)

  13. 13 arbobo on janvier 1, 2011 13:20

    en réalité j’ai oublié pas mal de monde dans les déceptions 2010.
    jugez plutôt :

    Alabama 3 Revolver soul : plat plat plat

    Ellen Allien Dust : calme plat, la réputation de Berlin va en prendre un coup

    Antony and the johnsons swanlight : ça va finir par tourner au gag, faudrait se surveiller là

    Arno Brussld : bof

    Artaud Music from early times : j’avais adoré son 1er album, mais là il tourne en rond, se répète, ça manque d’inventivité et de musicalité

    Erykah Badu New Amerykah Part Two (Return Of The Ankh) : beaucoup rêvaient de la voir revenir au sommet, mais elle en est encore loin, c’est pas mal mais venant d’elle ça déçoit

    Ilene Barnes Three sides : le plantage complet :-/

    Black rebel motorcycle club Beat The Devil’s Tattoo : quand même les fans sont déçus par cet album, je peux pas espérer être sous le charme

    Cibelle Las Venus Resort Palace Hotel : la petite sensation est retournée à l’anonymat

    Cocoon Where the oceans end : on a trop tiré sur la corde avec eux, et cette tournée interminable après le 1er album, voilà un disque pour pas grand chose mais j’en imagine très bien les raisons, et je contginue d’attendre un beau 3e album

    Funki porcini On : se souvenir de l’excitation des années 90 où il se passait tant de choses en électro… comme le temps passe ^^

    Micky Green honky tonk : dommage que les carrières de mannequin s’arrêtent si jeune, sinon elle aurait commencé la chanson plus tard

    Paul Heaton Acid country : celui-ci il fait mal, j’ai tellement adoré les Housemartins, et même si j’ai décroché avec the Beautiful south, je ne pensais pas qu’il avait à ce point épuisé le stock. Ouch :-/

    Jimi Hendrix Valleys of Neptune : ça fait longtemps qu’on se fout de notre gueule à coup de soi-disant “inédits” et “raretés” de Hendrix, mais là ils ont fait très fort

    Daniel Johnston Beam me up : le mec est inégal, on le sait, mais toute l’attention qu’il a aujourd’hui ne lui attire visiblement pas que des bons conseils. il est mauvais, ce disque.

    Sharon Jones and the dap kings I Learned The Hard Way : on dirait l’illustration du dicton anglais “what goes up must come down”. Et vu qu’elle était monté très haut…

    Kaki King Junior : j’avais beaucoup aimé son évolution et qu’elle chante de plus en plus, mais celui-ci ne tient pas la route, cela dit KK reste une valeur sûre.

    Ray Lamontagne God Willin’ & The Creek Don’t Rise : un petit tour et puis s’en va. C’est pas avec un disque aussi insipide que le folk allait maintenir son aura en 2010.

    Steve Mason Boys outside : mort-de-rire

    Marissa Nadler Covers : ploum ploum ploum…

    The Streets Computers and blues : c’est vrai qu’on n’attend plus gand chose de l’ex grand espoir rap anglais, mais quand même, ça va pas en s’arrangeant

    Emily Jane White Ode to sentience : ou découvrir qu’EJW a déjà tout dit sur son premier album, et que du coup le 3e est singulièrement plat

    Brian Wilson Brian Wilson Reimagines Gershwin : un ratage complet, génie + génie = soupe, pourtant je croyais qu’en n’ayant pas à composer brian wilson aurait écarté l’obstacle n°1 et que ce disque serait beau. mais il fait limite pitié. sad. :-(

  14. 14 Ska on janvier 2, 2011 0:20

    Hé ho ! T’arrêtes de dire du mal de Steve Mason.
    Sinon, j’aime beaucoup le ton de ce large tour d’horizon.
    Et j’aime bien la B.O. de Tron Legacy (une B.O. hollywoodienne, pas un nouvel album : ainsi les choses sont plus claires…)

  15. 15 arbobo on janvier 2, 2011 1:42

    tu as raison de me corriger sur daft punk, en fait c’est juste une énorme erreur de casting :-)
    si le but était de ne pas faire du daft punk, alors on est bien dans le pur marketing… j’aurais préféré un peu de musique ;-)

  16. 16 JP.M on janvier 8, 2011 10:05

    Bonjour et bonne année à tous, juste une petite rectification en ce qui concerne Kim Wilde.
    “Come out and Play” n’est pas l’album du come back!
    En effet, après 10 ans de standby en ce qui concerne sa carrière musicale, Kim est de retour depuis 2006 avec deux albums et de nombreux singles (toute l’actu sur mon blog)
    La belle sera à Paris à La Cigale le 18 mars prochain, comme en 2007 et 2009.
    A bientôt, JPaul de Nice…

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