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Petit bilan 2013

par arbobo | imprimer | 3jan 2014

Un court bilan 2013 cette année, parce qu’un premier point de bilan c’est que j’ai de plus en plus de mal à écrire sur la musique et que m’immerger dans le flot incessant de nouveautés musicales me pèse. Après plusieurs années d’inflation j’ai écouté moins, et plus souvent les disques qui m’attiraient le plus.
Et puis j’avoue qu’en participant à la belle équipe de Playlist society je me laisse de plus en plus aller à y parler d’autre chose, expositions, séries télé…

Mon année musicale 2013 c’est ça : un léger décrochage. A peine une douzaine de concerts, contre une grosse cinquantaine durant plusieurs années. Et environ 200 nouveautés écoutées, ce qui est infime comparé aux “collègues” blogueurs :-)
A l’heure de la photo finish, environ 25 disques et quelques chansons se détachent et resteront dans mon casque encore un moment.

Des tubes avec de la grosse basse qui bastonne

Solange Knowles a remis ça. Un deuxième disque court mais bien fagoté, avec surtout le tubesque Bad girls où la basse bondissante de l’ex-EWF Verdine White fait des merveilles. Bravo la petite soeur.
Daft punk, on les cite ici parce que l’essentiel de l’album jette un sort à nos arpions et que la basse funky y tient un rôle important, mais avouons que ce disque dont chaque note trahit des dizaines d’influences est carrément un des meilleurs de l’année.

La basse a toujours un beau rôle dans le trio de japonaises Nisennenmondai. En plus de l’excellent EP “N” publié cet année, et d’un concert ébouriffant, elles ont sorti en maxi 45t deux remix, dont le plus kiffant des titres de l’année : Appointment (You Ishihara Mix). Yeahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !

Sans être aussi excellent, le Aluna George a de vraies réussites, en particulier Outlines, un peu rêveur et un peu agicheur. Graaou!

Janelle Monaé est toujours aussi perchée et mégalo (elle a invité Prince, Erika Badu, Solange, la crème quoi), mais quand elle balance des trucs comme Dance apocalyptic, on approuve à 100%!

New Young Pony Club a remonté la pente et sert sur NYPC plusieurs belles bombinettes de dancefloor, dont l’imparable Hard knocks

Et puis il y a ce petit merdeux de Robin Thicke, queutard incapable de sortir un album digne de ce nom mais dont le single misogyne et un peu pompé sur Marvin Gaye Blurred lines est tout de même un imparable tube, un énorme tube.
Dans la machine à tubes, on trouve aussi Lovers, M.I.A, et on notera le retour de JD Samson & MEN, toujours aussi efficace (Club thang, waouh !). Les californiennes Haim ont bien animé l’année elles-aussi, sans doute sans lendemain.

Des vieux qui retrouvent des couleurs (enfin… pas tous)

Etienne Daho sort un disque de haute volée, avec de gros coups de groove bien placés. 32 ans après son premier album, il parvient encore à se bonifier. Et Dominique A encore en duo sur le disque d’un autre, comme toujours une réussite.

David Bowie a le sens de l’histoire. Après de nombreux virages stylistiques, destinés à l’inscrire dans son époque, dans le son du moment, avec plus de réussite que d’échecs, il contredit les rumeurs le voulant mourant en sortant un nouvel album bilan. Que des titres nouveaux, même pas de reprises auxquelles il nous avait habitués, et malgré tout une impression de compilation testamentaire tant les styles de son passé se succèdent. Sans même besoin de clips (fort beaux), ce disque compte des passages réussis voire émouvants. Dirty boys est un vrai super bon morceau. Et puis ce qui nous fait aimer cet album, c’est l’impression tenace que cette fois c’est vraiment le dernier. Bowie a lancé son premier groupe à 15 ans, il y a… 51 ans.

Luscious Jackson… elles ne sont pas bien vieilles, mais elles avaient disparu à la fin des années 1990. A en croire le contenu de Baby DJ, elles sont aujourd’hui devenues mères et ont composé pour leurs mômes de bons morceaux, sans se prendre aux sérieux mais avec assez d’inspiration pour que nous aussi on shake nos jolis popotins avec elles.

Les vieux couples sont touchants, ou pas. Sonic youth n’en finissait plus de tourner en rond depuis quelques années, la séparation du couple Gordon/Moore aura au moins relancé la créativité de chacun des anciens du groupe. Thurston a lancé Chelsea light moving (il a déjà fait mieux), Kim a créé Body/head qui sonne mieux que ses précédentes escapades (Free kitten), Lee Ranaldo a sorti son 10e disque (mais pour une fois le public s’en est aperçu), embarquant une nouvelle fois Steve Shelley dans l’aventure. Bref, l’âge d’or est passé mais a quand même de quoi continuer d’espérer.

Même Primal scream a sorti un disque en 2013. En plus il est pas mal. Que dire de plus? Pas grand chose :/
Pareil pour Visage. C’est pas que ce soit vraiment mauvais (Never enough, c’est même très bien). C’est plus qu’une fois écouté on s’en fout déjà.

Certains seniors s’en tirent avec moins de grâce. Comme Devo, ou the House of love. Mention spéciale à Mazzy star, qui n’a plus le mojo depuis longtemps mais qu’on s’obstine à bien aimer malgré des morceaux à peu près sans intérêt. OMD, eux on a renoncé, ils sont revenus à leurs racines mais désolé, ça ne vaudra jamais un bon vieux best-of, inutile d’insister.

Cerise sur le gâteau, 2013 fut l’année du come back le plus improbable. My bloody Valentine fut annoncé sur le retour tant de fois, pour au final ne faire que des concerts sans le moindre inédit, que même les plus acharnés ne croyaient plus un traître mot des rumeurs persistantes. m b v, pourtant, est bien un nouvel album. Il arrive trop tard pour combler 20 ans d’attente et de fantasmes de l’ancien groupe le plus en avance de toute l’histoire du rock indépendant. Mais quel bon disque, en vérité.

Des albums à écouter et réécouter

Pour moi, Nick Cave a sorti son meilleur album. Push the sky away réussit à la perfection le plus difficile : suggérer. Tout en tensions poussées au paroxysme sans jamais exploser, il ne contient que des merveilles. Sa sobriété exemplaire souligne chaque note, chaque phrase. A 56 ans Nick Cave est plus lugubre que jamais tout en sachant se faire caressant. Il est au sommet.

Goldfrapp aussi a fait fort avec Tales of us. C’est ce que les américains appellent un “grower”, sa force, sa qualité, se révèlent grandissantes écoute après écoute. Pas grand chose à jeter dans cette galerie de portraits esquissés avec finesse et générosité.

Freschard, c’est un pur délice. Tous les charmes du dilettantisme, les éclairs du talent, et puis cette voix qui, l’air de rien, élit domicile dans votre pavillon. J’en ai dit un peu plus ici sur le magnifique Boom biddy boom.

Robi nous a ému, dressé les poils, hanté le coeur et l’esprit… L’hiver et la joie est un album important qui nous a accompagné toute l’année et continue de nous procurer à chaque écoute des sensations follement excitantes.

Suuns : Images du futur réclame quelques écoutes pour convaincre mais le verdict est toujours le même. Groupe parfait, dense, fidèle à un son et une atmosphère irrémédiablement séduisante, efficace. Le tout avec une sincérité et une modestie touchantes.

David Lynch dans la rubrique des meilleurs albums de l’année, c’est une blague? Même pas. Une énorme surprise, oui. On pensait qu’il avait tout mis dans son premier album, et encore avec pas mal d’aide de copains. The big dream ressemble trop à son oeuvre filmée pour qu’on doute de son empreinte et de son implication. Hiératique, il traverse ce disque habité et intrigant avec une classe folle.

Kanye West. Ce type est le connard mégalomane par excellence, et la drogue y est sans doute pour un peu mais n’explique pas tout. On meurt d’envie de lui dire d’aller se faire foutre quand il se prend pour dieu et répète à longueur d’interviews qu’il est le plus grand génie du siècle. N’empêche que Yeezus est un album bluffant, grave, dérangeant, étonnant, un disque comme pas grand monde ne sait en faire. Alors chapeau bas, monsieur connard.

Scout Niblett et It’s up to Emma se glissent dans cette rubrique en forçant la porte. Parce qu’un disque qu’on écoute comme on se brosserait le sexe au papier de verre, et qu’on écoute pourtant jusqu’au bout, a quelque chose de plus que les autres.

puisque cette partie est un peu celle des albums à emporter sur une île déserte, ajoutons le Daho, le Daft punk, et dans une moindre mesure le Bowie et le My bloody Valentine.

Des disques pas si géniaux mais qu’on a quand même bien fait d’écouter

Holden est un groupe qui ne ressemble qu’à lui-même, et qui se tient toujours hors de portée de la médiocrité. Malgré tout, c’est simplement faute d’avoir pour Sidération la même ferveur que pour Chevrotine que je le place ici. Est-ce en raison des difficultés rencontrées pour faire exister ce disque (le groupe n’a plus de label)? Il me parait plus difficile d’y entrer et s’y faire une place que dans les précédents. Ecoutez plutôt ce joyau Quel ami.

Tamikrest laisse une impression de redite, même si c’est le travers propre à leur style qui flirte avec la répétition. Il n’empêche qu’en trois albums les touaregs s’imposent de plus en plus comme on voix forte et moderne à laquelle on est accro.

Cate Le Bon, troisième album de la brune galloise, Mug museum. Toujours les deux pognes coincées dans le rayon 60s de son disquaire, et toujours autant de talent sans se donner des airs pour autant.

Arcade fire, c’est définitivement acquis, ne sera jamais le groupe de sauveurs géniaux que les Inrocks s’obstinent à nous présenter comme tel, mais bien qu’ils n’aient pu reproduire la magie de leur premier disque ils poursuivent leur chemin avec des moments de talent, comme on en trouve dans leur nouvel album disco-rock. Ils sont un peu en train de devenir les U2 de leur génération, mais après tout, si on songe à tous les bons morceaux de U2 la comparaison n’est pas si péjorative que ça.

Alela Diane, depuis qu’elle a les moyens de s’offrir des musiciens, s’adonne à des arrangements dont elle rêvait sans doute dès le magnifique premier album. Tant pis pour nous, mais sans l’âpreté de son Pirate’s gospel son nouveau disque confirme la qualité de son écriture. About farewell est même un très beau morceau.

Andrew Bird s’est lancé dans des variations mi jazz mi musique contemporaine début 20e siècle. Ses hommages appuyés à l’éthio-jazz dont Mulatu Astatqe est le héraut ont belle allure.

Matt Elliott lui, c’est un peu plus bizarre. Impossible d’écouter des morceaux de lui et de les reconnaître, je suis infoutu d’entendre la différence entre ses albums, mais chaque fois qu’il en sort un il est bon et touchant. A moins que j’écoute toujours le même, c’est bien possible.

Jay-Jay Johanson continue son chemin, Cockroach est même un bon disque. Pas assez mémorable pour qu’on pense spontanément à le mettre sur la platine, mais suffisamment pour qu’on vous recommande d’y poser une oreille attentive :-)

Asaf Avidan en énerve beaucoup. Peut-être est-ce plus la faute du matraquage radio que la sienne, car même si l’album ne tient pas toutes ses promesses, il faudrait être ingrat pour se plaindre de chansons comme Cyclamen.

La femme s’en tire bien, après un très bon EP on attendait beaucoup de l’album et dans l’ensemble il tient la route. Leur manière de chanter-parler, très 1980, fonctionne à merveille sur moi.
Foxygen a régalé avec ses morceaux, mais comme le pastiche n’est jamais loin on comprend que le duo inspire quelques réserves.
Valerie June est née dans les champs de coton, ou sinon elle sa musique d’un autre âge. La jeunette ferait une belle affiche avec son aînée Mavis Staples, qui n’en finit plus de reverdir.
Savages, elles sont encore meilleures en concert, remarquables même. Mais déjà en disque, ça pulse.
Shannon Wright s’est mise au métal. Ou presque. Ca y ressemble en tout cas et c’est pas mal, même si je préfère d’autres albums de la sauvageonne.
Tristesse contemporaine exige un peu plus de persévérance avec cet album qu’avec le précédent, mais passé la circonspection il se révèle très bien. Même chose pour Emiliana Torrini (animal games, miam).
Julia Holter est un poil trop esthète pour emporter totalement le morceau. D’un coin de l’oeil elle jauge son reflet dans la glace, mais on doit reconnaître qu’elle a autant de classe que de talent.
Devendra Banhart a publié Mala, c’est joli, délicat, pas trop ambitieux, et peut-être pas assez en même temps. Allez comprendre…
Je n’ai pas non plus réussi à vraiment m’immerger dans le Kevin Morby, sans doute parce qu’il mérite qu’on prenne le temps de le savourer, comme ce long et beau Harlem river.
Kid Congo & The Pink Monkey Birds sont perdus dans la faille temporelle rétro-garage 60s, qui commence à être bien encombrée mais d’où ils émettent de jolies choses (2.22).
Quant-à I am kloot, c’est si bien ciselé et chanté que je devrais y succomber un jour ou l’autre.

quelques échecs

Britney Spears est une fois de plus sa propre victime. 20 ans après Madonna elle avait rendu ses tubes pop indissociables de ses frasques extra-musicales. Dépassée depuis par Beyoncé (plus équilibrée et meilleure businesswoman) et par Rihanna (plus sexy, plus putassière, plus régulière aussi musicalement), Britney court après son ombre sans la rattraper. Rien à sauver dans ce nouvel album. Ecoutez plutôt des passages du nouveau Beyoncé publié par surprise en toute fin d’année. C’est un disque de Beyoncé, c’est à dire pas génial mais sans gros défaut, et émaillé de 2-3 tubes pas mal tournés (Blow, par exemple).

au rayon “bof”, on peut aussi ranger Bill Callahan. Certains disques sentent la pression du percepteur plus qu’une réelle envie d’enregistrer. Rendez-vous pour le prochain. Coup de mou aussi pour Conan Mockasin, Okkervil river, et Emily Jane White qui confirme qu’elle est un bonne petite songwriteuse un peu répétitive et un brin lassante bien que pas déplaisante. Elle reste donc au-dessus de Vampire weekend, blagounette à laquelle on a cru au début mais qui devient longuette.

Au rayon blagues, il parait que MGMT a sorti un nouvel album. Trop top génial, non? En vrai le disque est pas nul du tout, mais honnêtement on préfère encore discuter des vertus du dernier Phoenix que de s’épiler les oreilles avec du MGMT un peu trop collant.

J’ai plus d’indulgence pour Au revoir Simone, chacune a vécu sa vie de son côté après des années 100% musicales (qui un doctorat, qui un enfant…). Leur disque pâtit d’un manque de cohésion qui devrait se consolider de nouveau si le trio décide de reprendre la route des studios.

une rencontre : Robi

Signe de l’évolution de ce blog aux parutions moins intensives, une seule nouvelle interview cette année. Oui mais pas n’importe laquelle. D’abord à distance, par chronique interposée qui a touché plus juste que je n’aurais cru, puis de vive voix, couvés par le regard toujours aussi juste de Chrystèle.
Un beau moment avec une belle personne.

vive la télé

des séries télé, actuelles ou datant de peu, m’ont permis de découvrir de très jolis titres, alors vive la sublime mini-série Hit & miss, et sa BO de haut vol qui contient notamment une pastille pétillante de Piney Gir, I’m lettin in the sunshine
la série néo-zélandaise Top of the lake, surtout pour sa reprise de Jöga par une jeune australienne, Georgi Kay

et puis une série chilienne dont je causerai un jour par ailleurs, Profugos, dont la bande son est presque entièrement constituée de titres de Camila Moreno. Belle découverte dont voici un des plus beau titres, Incendiè, tiré de son album Panal de 2012

Voyage voyage…

tous les ans à force de tournicoter sur elle-même la Terre éparpille un peu partout les graines de l pop et du rock indé, et ramène à nous des senteurs d’ailleurs.
Puisqu’on a parlé de Georgi Kay (Australie), Asaf Avidan (Israël), Jay-Jay Johanson (Suède), Nick Cave (Australie), Camila Moreno (Chili), Nisennenmondai (Tokyo), ajoutons encore quelques points sur la carte.
Jimmy Tait en Australie
Kim ki O, super duo new wave d’Istanbul
Emilíana Torrini (Islande)
Juana Molina (Argentine)
Jimi Tenor (Finlande)

toutes et tous ont fait de belles chansons en 2013 et méritaient d’être mentionnés.

la plus belle des promesses

Marie-Flore a publié en 2013 un “EP”, un mini album qui étend son répertoire à des registres inattendus où elle excelle, comme toujours. Sur ce disque court mais sans défaut, le songwriting classieux (By the dozen) côtoie le rock bien balancé (Waste of time), et puis il y a ce truc dingue, Feathered with daggers, aussi délicat et aiguisé que son titre le promet, un météore qui fait briller les yeux, bondir le coeur et qu’on écoute à peu près tous les jours sans jamais se lasser.
Elle a aussi resserré les rangs d’un groupe de scène taillé à sa mesure, aussi précis que puissant, et c’est avec un bonheur immense qu’on s’est pris une belle série de baffes à son concert à la Flèche d’or. Marie-Flore sait aussi sortir les griffes et “envoyer”.

En 2014 Marie-Flore sortira son premier album. Plus encore que ses disques précédents, Feathered with daggers est la promesse d’un album maîtrisé, riche, qu’on attend déjà comme un moment des plus enthousiasmants de la nouvelle année!

et en 2014?

ah ah, vous aimeriez bien le savoir hein ;-p

il y aura entre autres les nouveaux albums de Laetitia Shérif et de Joan as police woman. Peut-être aussi un nouveau Cure, et puis, et puis…



Comments

4 Commentaires


  1. 1 Ska on janvier 4, 2014 22:45

    Bon, eh bien, ça va m’aider. Je sais quoi rattraper.
    Au rayon mainstream, je suis content de lire que tu es tout autant emballé que moi par le Daft Pink et le Daho.
    Tu me donnes très envie d’écouter le Lynch et plusieurs autres choses que je ne connais pas ou dont j’ai juste entendu parler.
    Pour moi, finalement, le choc musical 2013 (que je n’ai pas eu au cinéma, tiens…), c’est Reflektor. Encore du mainstream. J’assume. :-)

  2. 2 arbobo on janvier 4, 2014 23:40

    et tu as bien raison, puisque tu n’as jamais fait de mainstream/indé un critère pour aimer quoi que ce soit,
    ce qui fait de toi quelqu’un de rare !

  3. 3 David on janvier 8, 2014 11:42

    Je me retrouve totalement dans ce qui tu dis au début de ton article. Les années passent et je me sens aussi de plus en plus submergé par le lot incessant d’albums qui sortent, du coup moi aussi j’ai de plus en plus de mal à écrire pour mon propre webzine. La solution est probablement d’écouter moins et mieux. En tout cas merci pour ce bilan :)

  4. 4 arbobo on janvier 8, 2014 15:12

    merci de tes encouragements david, et je te donne les miens ;)

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